PRÉVISIONS. Les chiffres sont parlants : -7% d'offre disponible à Paris intramuros, +80% pour la Défense et le Croissant ouest. La pénurie de m2 de bureaux dans la capitale et la suroffre en périphérie vont encore s'accentuer d'ici à 2030, selon les projections de l'Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF).

Tous les secteurs de la ville et des alentours ne suscitent pas le même intérêt de la part des acquéreurs, ce qui fait varier le niveau des prix.

Plus d'espace, plus de vert: les Franciliens ont pris goût au télétravail et animent de nouveaux marchés immobiliers plus éloignés de la capitale. Avec des tarifs encore attractifs.

Maisons, appartements...à l'occasion des Clés de l'immo, Maître Charles Flobert, porte-parole des notaires du Grand Paris, dresse un panorama de l'évolution du marché et livre des conseils pratiques sur les villes qui pourraient prendre de la valeur en dehors de la capitale.

Sur un marché resté vigoureux grâce à des taux de prêts historiquement bas, « l'appel du vert », sinon de la campagne, se traduit par un intérêt grandissant pour les maisons.

Malgré des prix bas, le centre de la préfecture de la Loire peine à attirer. Mais les investisseurs sont là, et les communes environnantes tirent leur épingle du jeu.

Depuis le déconfinement, acquéreurs comme locataires semblent plus que jamais décidés à trouver dans Nantes et sa périphérie le bien de leurs rêves. Résultat, les prix grimpent.